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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Mar Mar 18, 2008 8:36 pm Sujet du message: Sans musique |
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J-13 avant que je ne jette mes vers en l'air
que je ne touche plus terre
que je ne déclame avec les poètes interplanétaires
que l'on me remette mon astronef interstellaire.
Pour l'instant, je garderai mes verrouillons pour moi, sur moi
ils seront écrits
Mais avec d'autres textes je m'écrie
Alors voici ma philosophie :
"Parce qu'à trop se laisser bercer par la musique, on en oublie les mots".
Ces airs que je vais déclamer m'ont touché.
La musique avait son rôle à jouer,
mais les mots ont leur propre musique
et valent qu'on les écoute.
C'EST MOI QUI DECIDE.
Trop longtemps j'ai fui
Pleuré tes folies, tes sentiments
Qui nous détruisent
J'ai longtemps lutté
Pour ne plus subir l'enfer de tes bras
Je t'entends venir chaque nuit
La haine au ventre
Pour toi qui m'a donné la vie
Ma lame sera profonde
Mais ta mort sera lente
C'est moi qui décide.
Tu t'avances vers moi
Je transpire déjà
Je suis en trance
Saisie de froid.
Je t'entends venir chaque nuit
La haine au ventre
Pour toi qui m'a donné la vie
Ma lame sera profonde
Nos peines sont en nombre
Mais ta mort sera lente
C'est moi qui décide.
Je t'entends venir chaque nuit
La haine au ventre
Pour toi qui m'a donné la vie
Ma lame sera profonde
Nos peines sont en nombre
Tu rejoindras l'immonde
Mais ta mort sera lente
C'est moi qui décide.
HYMNE.
....................................................................
VIVRE A MEME L'AMOUR
Besoin de toucher
J'ai un grand besoin de toucher quelqu'un.
De loin, de près,
Comment faire de loin sans faire à peu près ?
Vivre à même l'amour
Besoin de rien,
Qu'est ce que la vitesse quand on est bien ?
Vivre à même l'amour
Besoin de toucher,
J'ai un grand besoin de toucher quelqu'un .
Danser,
Sur une main
Voir le bon côté du lendemain.
Vivre à même l'amour
Qu'est ce que la vitesse quand on est bien ?
Dire qu'on est fait pour ...
BEN RICOUR.
....................................................................
LA CEINTURE
Non pas sur la bouche
Même si c'est louche
Puisque ma langue
A le goût de ta vertu
De ton honneur perdu
Non pas sur les lèvres
Même si j'en rêve
Même si je tremble
Et bien que mon coeur soit nu
Mon âme est revêtue
De pudeur et d'impudence
Sans te faire offense
Mieux n'vaut pas tenter sa chance
Rien ne dure
Au-dessus de la ceinture
Non pas sur la bouche
Même sous la douche
Même si c'est dur
Je te mordrai c'est promis
Tous les coups sont permis
Non pas sur les lèvres
Même pas en rêve
A cent pour sûre
Ou tu mangeras ton pain gris
Mon coeur est endurci
Ne tire pas sur l'ambulance
Garde la potence
Plus rien n'a plus d'importance
Rien ne dure
Au-dessus de la ceinture
Non pas sur la bouche
Je sais je touche le fond du lac
Le temps des cerises est mort
Le diable est dans le corps
Non pas sur les lèvres
Non c'est pas mièvre
C'est pas le trac
Mais je préfère me donner crue
Sans revers ni refus
Rendons-nous à l'évidence
Tout est cuit d'avance
Mieux n'vaut pas tenter sa chance
Rien ne dure
Au-dessus de la ceinture
Non pas sur la bouche
Je sais c'est louche
Puisque ma peau
A l'odeur de ton odeur
Au dehors il fait chaud
Non pas sur les lèvres
Jamais de trêve
Et pas d'assaut
Le bonheur est dans la pente
Entre le sol et le ventre
Entre l'oubli et l'oubli
Même l'oiseau du paradis
Joue plutôt jeux interdits
Rien ne dure
Au-dessus de la ceinture.
ELODIE FREGE
....................................................................
JE SUIS UNE FEUILLE
Aurais-je imaginé que je trouverai là
Une mine de stylo plantée sur ma peau
Les yeux de mon bourreau qui ne me quittent pas
Ma blancheur lui fais peur je sais qu'il cherche ses mots
Je suis une feuille blanche je ne demandais rien
Qu'à rester sur mon arbre et attendre la fin
Moi j'aimais le vent se perdant dans les feuilles
Et le murmure de la sève qui lui donnait la vie
Moi j'aimais la hauteur que j'avais sur les choses
Je n'ai pas vu venir la lame qui m'a trahis
Si au moins je servais de papiers officiels
Pour signer des traités et protéger les faibles
Ou être dans les mains d'un poète oublié
Qui me jetterai des vers comme on cherche un ami
J'aurais pu être pressée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou être le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Ou être dans les pages d'un livre d'histoire
Qui dit que le chemin est encore tellement long
Mais voila que je sens que la plume me frôle
Et les lettres se forment comme l'encre tourbillonne
Je n'ai jamais vu plus lourd que le poids de ces mots
C'est la misère d'un homme que je sens sur mon dos
Il dit je veux finir d'avec ma vie
Pardonne moi mon amour mais je m'arrête ici
Ce n'est pas de ta faute si je baisse les bras
Mais j'ai perdu ma chance de gagner ici bas
Et moi c'était mon rôle de porter tous ces mots
Et les larmes d'une femme tomberons sur moi bientôt
J'aurais pu être pressée sur le coeur d'une enfant
Ecoutant dans mes lignes la voix de son amant
Ou être le pliage d'un gamin de huit ans
Et voler dans les airs sous les rires des enfants
Mais je tourne la page d'une triste histoire
Qui dit que le chemin n'était pas tellement long
Pas tellement long...
RENAN LUCE. |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Mar Mar 18, 2008 8:48 pm Sujet du message: |
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Mes mots ont été libèrés, mes maux envolés
Dans ce décor ensoleillé, de vers bercé
Par le remous des foules qui ne font que passer.
Mais les mots sont fait pour être partagé ...
Alors, dans les airs libèrer
Un texte auquel on est attaché
Lui et moi, poètisés
Allons déclamer
A l'unisson cette unité
de mots que l'on appelle texte chanté :
LES MEILLEURS ENNEMIS
Les meilleurs ennemis du monde
Voilà ce que nous sommes
Amorce de sourires et de bombes
Et du mal qu'on s'donne
C'est toi contre moi
On s'y retrouve
On s'y perd
C'est toi contre moi
On se révolte
On se soumet
Mets-toi contre moi
La guerre encore
On s'y fait
Mets-toi contre moi
Pourvu qu'on reste
Les meilleurs ennemis du monde
Et tant pis si on l'est
Le mariage du ciel et de l'ombre
Je te hais comme tu es
C'est toi contre moi
On s'y retrouve
On s'y perd
C'est toi contre moi
On se révolte
On se soumet
Mets-toi contre moi
La guerre encore
On s'y fait
Mets-toi contre moi
Pourvu qu'on reste
Le détour
Quand tu prends de l'avance
{... ennemis}
Le discours
Quand tu veux le silence
{... ennemis}
La corde à ton arc
La corde à ton cou
Fidèle envers et contre nous
Les meilleurs ennemis
C'est toi contre moi
Et moi contre toi
C'est toi contre moi
On se retrouve
On se perd
Et toi contre moi
On se révolte
On se soumet
Mets-toi contre moi
La guerre encore
Je te promets
Mets-toi contre moi
Qu'on restera
Les meilleurs ennemis
ZAZIE et P. OBISPO
....................................................................
Sans musique, juste un fond sonore
Le murmure des passants alrededor
Je déclamerai encore
Ce nouveau texte conmovedor :
PARTONS VITE
Allez danse, danse, vient dans mes bras,
Allez tourne, tourne, reste avec moi,
Allez partons vite si tu veux bien, dès le jour,
Le soleil brille très haut tu sais,
Mais j’aime ça, je t’attendais
Alors partons vite si tu veux bien, Sans retour…
Ris plus fort et parle-moi
De nos projets, de nos rêves tout ça
Donne-moi la main, embrasse-moi, mon amour
Le temps comme ami, moi je veux bien
Mais les amis ça va, ça vient,
Alors partons vite brûler le jour et la nuit
Evidemment, tu l’aimes encore,
Je le vois bien tu sais, et puis alors ?
Mais pour l’instant ferme tes yeux, passe ta main dans mes cheveux.
Je veux entendre, ton cœur qui bat, tu sais, je crois qu’il chante pour moi
Mais en douceur comme ça tout bas, comme un sourd
Mon cœur lui s’emballe, il vole haut, peut être un peut trop haut pour moi
Mais je m’en fou, je suis vivant pour de bon
Allez danse, danse, regarde-moi
Allez tourne, tourne, ne t’arrête pas
Allez partons vite, si tu veux bien, dès le jour
le soleil brille, profitons-en
Je t’attendrai, je t’aime tant
Alors vas-t’en vite si tu veux bien, sans retour
Evidemment, tu l’aimes encore,
Ça crève les yeux mon dieu, Tu l’aimes encore
Mais pour l’instant ferme tes yeux, passe ta main dans mes cheveux
Allez danse, danse, retourne-toi
Allez tourne, tourne, ne t’arrête pas
Allez partons vite, si tu veux bien, dès le jour
J’ai manqué d’air je m’en souviens,
Toutes ses années sans toi sans rien
Même mes chansons se baladaient le cœur lourd
Evidemment, tu l’aimes encore,
Ça crève les yeux mon dieu, ça crève les yeux mon dieu
Mon dieu….
KAOLIN |
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DESCA
Inscrit le: 19 Mar 2006 Messages: 139
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Posté le: Jeu Mar 20, 2008 12:44 pm Sujet du message: |
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Content de voir que ça se reconstruit _________________ "La vie est une dérision,ne la prenez pas au serieux:vous n'en sortirez pas vivant..." |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Lun Mar 24, 2008 8:00 pm Sujet du message: |
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TOUT SE RECONSTRUIT.
Toujours la même couleur
Mais de l'amour, du coeur
Débordant
Passionnée sur les bords
Alors je dirai un temps
Je saurai à temps,
Ce nouveau texte s'envolant
aux 4 vents
Valsant à 3 temps
Attendant, patiemment
D'être libèré du dedans.
J’ENVOIE VALSER
J'en vois des qui s'donnent, donnent des bijoux
dans le cou
c'est beau mais quand même
ce ne sont que des cailloux
des pierres qui vous roulent, roulent
et qui vous coulent
sur les joues
j'aime mieux que tu m'aimes
sans dépenser des sous
moi je m'en moque
j'envoie valser
les truc en toc
les cages dorées
toi quand tu m'serres très fort
c'est comme un trésor
et ça
et ça vaut de l'or
j'en vois des qui s'lancent des regards
et des fleurs
puis qui s'laissent quelque part
ou ailleurs
entre les roses et les choux
j'en connais des tas qui feraient mieux de s'aimer un peu
un peu comme nous
qui nous aimons beaucoup
et d'envoyer
ailleurs
valser
les bagues et les
cœurs
en collier
car quand on s'aime très fort
c'est comme un trésor
et ça
et ça vaut de l'or
moi pour toujours
j'envoie valser
les preuves d'amour
en or plaqué
puisque tu m'serres très fort
c'est là mon trésor
c'est toi
toi qui vaut de l'or
ZAZIE |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Jeu Avr 10, 2008 6:31 pm Sujet du message: |
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Prochainement, je me suis décidé.
A l'eau je vais me jeter
Déclamer des vers artésiens
Inspirés d'une conversation avec quelqu'un
De Parisien :
CDD DE L'AMOUR
Y'a que des CDD de l'amour
Qui m'entoure
On croit signer pour une durée déterminée
Mais passée la période d'essai
On se fait gentiment remercier
Quand on en a fait le tour
Déduit les charges
Imposées, par amour
Il ne reste plus beaucoup de marges
Le salaire net
Monte vite à la tête
Démission
Chômage érotique
Licenciement juridique
Sans condition
Pointer à l'ANPE
Recherche affection
Toucher les ASSEDIC
1 autre revenu.
Y'a que des CDD de l'amour
Qui m'entoure
Mais quelle technique appliquer
Pour, au chômage, ne pas pointer.
Le marché de l'amour
Paraît bien saturé.
MISS ARTE et MUEL-SA
[/i] |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Mar Avr 15, 2008 7:14 pm Sujet du message: |
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Pour le plaisir des mots
En duo
ON TOURNE AUTOUR
La tête à l’envers
Allongé dans l’herbe
On pense à rien
Amant solitaire
On voudrait se plaire
Comme si de rien
Et pour qu’on se ressert
J’ai mis dans ton ciel
Un peu du mien
La tête à l’envers
Tout près du soleil
On tourne autour
On se perd
On tourne autour
On espère
Passer l’hiver
Déchiffrer le ciel
Le temps, les nuages
Comme dans ta main
Blotti sous ton aile
Je vois ton visage
Où est le mien ?
Pourquoi tu n’essaies
Jamais d’être celle
Dont j’ai besoin
Où dans mon sommeil
Les ombres s’emmêlent
On tourne autour
On se perd
Et tour à tour
On espère
Parler d’amour
A cœur ouvert
On tourne autour
Qu’est ce qu’on attend ?
Qu’est ce qu’on nous vend ?
Ca crève les yeux
Je n’attends que de toi
Pour être heureux
Oh mon amour.
La tête à l’envers
Allongé dans l’herbe
On pense à rien
Amant solitaire
On voudrait se plaire
On tourne autour
On se perd
Et tour à tour
On espère
Revoir le jour
Passer l’hiver
On tourne autour
Qu’est ce qu’on attend ?
PIERRE GUIMARD |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Mer Avr 23, 2008 8:05 pm Sujet du message: |
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C'est un jour comme les autres
Un jour de plus marqué d'une croix
Une année pour moi
UN JOUR COMME LES AUTRES
Aujourd'hui c'est mon anniversaire
La famille réunit les amis pour le dessert
De courir si loin dans la France
J'ai perdu mon enfance
Où tu te planques
Toi qui me manques?
C'est un jour comme les autres
Un jour de plus
Marqué d'une croix
Un jour ou l'autre
Pour vivre avec
Moi je peux pas
Sans toi.
Les visages encerclent les bougies
Y'a comme une ombre au tableau de ma vie
Te souviens-tu de nos mesures
Sur le mûr de ta chambre ?
Et des blessures qui nous rassemblent ?
C'est un jour comme les autres
Un jour de plus
Marqué d'une croix
Un jour ou l'autre
Pour vivre avec
Moi je peux pas
Sans toi
Je ne veux pas vivre avec l'absence
Je n'ai pas compris l'évidence
Je ne t'en veux pas
C'est juste un peu de souffrance
Qui passe sur mon enfance.
C'est un jour comme les autres
Un jour de plus
Marqué d'une croix
Un jour ou l'autre
Pour vivre avec
Moi je peux pas
Mais comment font les autres pour faire semblant que tout va bien?
Un jour ou l'autre, on vit de ce qui nous retient
En soi
................
PIERRE GUIMARD[/i] |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Sam Mai 10, 2008 8:56 am Sujet du message: |
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Parce que je me suis déjà noyée
Parce que je me retrouve dans cette écriture chantée
Parce qu'il n'y a pas de prince charmant
Juste des crapauds acceptables
Des vilains petits canards
Dans :
LA MARE AU CONNARD
De l'eau, de l'eau pour des histoires d'o
Trop d'eau parterre, je ne sais plus quoi en faire
J'éponge l'enfer, où tu m'as laissée
Mais ça déborde quand même, toute éclaboussée
Dans la mare au connard
Les amants sont largués
J'en ai marre mon canard
Je ne sais pas nager
De marabout en bout de ficelle
Je ne tiens plus debout, je cherche de l'aide
Me mettre à bout pour de pauvres idylles,
Que tu traînes dans la boue quand tu n'es plus tranquille.
Dans la mare au connard
Je ne sais pas nager
J'en ai marre mon canard
T'as touché, j'ai coulé
C'est pas l'océan, ici c'est la baignoire
Et je me noie dedans, j'échangerais bien mon canard
Qui ne va pas changer contre un marin sans histoire
Un matelot un vrai qui m'emmènerait... .............loin
De la mare aux connards
Où je me suis noyée
Pour un garçon facile
Qui ne sais pas résister
Dans la mare aux connards
Où je ne sais pas nager
J'larguerais bien les amarres
Pour oublier...
MAYANE DELEM |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Ven Juil 18, 2008 7:29 pm Sujet du message: |
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Parce que la même couleur m'attire toujours
Et irrémédiablement vers l'amour.
Parce que cette couleur peut se décliner sous différentes nuances dans un même texte, sans le son mais avec plusieurs battements de coeur, je le déclamerai certainement dans des prochaines heures.
AU MOMENT DES AMOURS
Et l'on rit et l'on déconne
Comme tout parait léger
Au moment des amours
Au moment de s'aimer
Tout semble futile et plein d'éternité
Loin des autres si près de toi
On pourrait même en crever
On pense alors à l'infini
Que rien n'peut s'arrêter
Le regard vers le large
On contemple nos vieilles idées
Mais non de Dieu, comme tout est beau
Comme on s'était planté
De croire que rien n'pouvait plus jamais nous arriver
REFRAIN
A nos joies, à nos peines
A tout c'qui nous ressemble
A la clarté de nos nuits
Au moment des amours
A ta peau, à ta voix
Au moment de t'étendre
A tout c'qui nous ressemble
Au moment des amours
Comme on crit et comme on gueule
Tout finit par s'égrainer
Au moment des amours
Au moment de tout lacher
Quand les oiseaux quittent la plaine
On crache sur le passé
Et l'on aime comme l'on déteste
Avec générosité
On pense alors qu'tout est fini
Que rien n'en vaut la peine
Mais le regard dans le vague
De vieilles idées reviennent
Mais non de Dieu, comme c'était beau
Comme on s'était planté
De croire que rien n'pouvait plus jamais nous arriver
A nos joies, à nos peines
A tout c'qui nous rassemble
A la clarté de nos nuits
A nos peines au moment des amours.
DA SILVA |
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miss arté
Inscrit le: 18 Mar 2008 Messages: 12 Localisation: ici ou ailleurs
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Posté le: Jeu Sep 04, 2008 7:07 pm Sujet du message: |
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Parce que certains textes nous parlent plus que d'autres. Parce que je voudrais le faire partager, je vais prochainement déclamer ce texte de Bense :
Au grand jamais
Suis-je parfois fragile
Ais-je vraiment le choix
M'arriverais-t-il d'être à cran, tout bas
Pensais-je à la mort
Pour enfin arrêter d'être si fort, sais-je au moins pleurer
Non jamais, au grand jamais
Regardez est-ce que je tremble
Non jamais, plutôt crever que de laisser la vie me descendre
Non jamais, jamais, au grand jamais...
Céderais-je dans mes bras
La place de ma guitare
A une bague au doigt ou à ces filles d'un soir
Suis-je des froids glacés
Quand je monte sur scène
S'est on déjà brûlés à la chaleur humaine
Non jamais, au grand jamais
Regardez moi ! est-ce que je tremble
Non jamais, plutôt crever que de laisser la vie me descendre
Non jamais au grand jamais
Et achevez moi si je tremble
Car jamais, au grand jamais je ne laisserais cette vie me descendre
Non jamais ... jamais ... jamais
Au grand jamais
Augrand jamais
Julien Bense. |
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